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Eau energie vitale géobiologie partage et reflexion


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servé la liaison avec les Officiers de la Section Technique de l'Armée, et lorsqu'en 1948, je reçus du général Sabatier, son remarquable travail, ce fut pour moi un trait de lumière. (Voir annexe 2, page 95.)

Les extrapolations de Sabatier et la question qu'il posait : « Sommes-nous en présence des Ondes Biologiques ? » trouvaient leur réponse dans mes expériences.

Nous touchions indiscutablement aux origines de la Vie et, peut-être, à la Vie elle même.

Je vais essayer d'exposer, en y mettant un peu d'ordre, tout un ensemble d'expériences qui ont eu lieu, dans un empirisme complet au début, puis s'ordonnant au fur et à mesure que les résultats apparaissaient, pour atteindre enfin le stade du contrôle systématique, en attendant celui de la connaissance scientifique complète.

Les premières expériences consistèrent à tenter de capter, sur une antenne, les différentes radiations, de les séparer au moyen de filtres appropriés et de donner à des khan-'

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tillons d'eau les qualités analogues à celles que nous avions constatées par exposition au rayonnement direct. Ces premiers essais furent décevants, jusqu'au jour où un ingénieur de mes amis, radiesthésiste à ses heures, me conseilla d'abandonner mes condensateurs à diélectrique classique et de leur substituer des condensateurs dont le diélectrique serait de la cire d'abeilles. Le résultat fut immédiat. Je fus à même de produire une eau dont les effets accélérateurs sur la germination des graines permettaient des contrôles et des mesures.

Nous sommes restés de longues années à utiliser le phénomène sans pouvoir l'expliquer.

Ce n'est que tout récemment, grâce au progrès incessant de l'électronique, que l'on a pu enfin constater que l'utilisation du diélectrique «cire d'abeilles» modifiait profondément le tracé des courants oscillatoires obtenus au moyen dés condensateurs en recouvrant la sinusoïde initiale d'une infinité d'ondes secondaires à fréquence extraordinairement élevée, baptisées du fait de leur tracé : « grass harmonics », soit ondes en forme d'herbes.

Ce phénomène a fait l'objet d'une communication à l'Académie des Sciences (17 juillet 1957) de MM. Jatar et Sharma : « A l'allure

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